Rose, rebelle pastel (L’Express)

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Depuis La liste et Ciao Bella, deux tubes en 2006, la chanson compte sur le folk sans artifice de Rose – un nom de scène inspiré par The Rose, film sur Janis Joplin. Et son troisième album intitulé Et puis juin déroule des histoires d’amours, d’amants, de jalousies, de peines, couchées avec une plume chantournée. Ainsi dans Jamais Paris ne me lasse, Rose écrit « son absence et ses abysses, les abîmes des Abbesses. » Les musiques pastels sont un bel écrin mais à la longue elles estompent le caractère intranquille, les maux et démons de Et puis juin qui du coup manque de peps, mis à part le Mon Homme. Le disque se termine sur Comme si c’était demain, longue confession triste qui se refuse à s’achever – la dernière note dure dix minutes.

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